Savez-vous ce qu’est l’intimidation?
L’intimidation, c’est quand on se moque d’une personne, qu’on lui donne des surnoms, qu’on l’humilie, qu’on l’exclut, qu’on la menace avec l’intention de lui faire du mal, que ce soit en personne, sur le Web, par texto ou par téléphone, ou encore qu’on la frappe. Ce n’est pas une taquinerie ou une blague pour la faire rire. Ce n’est pas une simple chicane entre amis qui se termine et qu’on oublie. C’est quelque chose qui se répète, qui continue jour après jour. Quand on est intimidé, on se sent faible et dépourvu. Ceux qui intimident nous rendent malheureux et mal à l’aise. On peut parfois se sentir isolé.
PARENT D’UNE VICTIME
Reconnaître les signes lorsque votre enfant se fait intimider
Une victime d’intimidation ne présentera pas nécessairement de blessures physiques. Pour pouvoir agir, vous devez rester attentif et à l’écoute de votre enfant afin de reconnaître les signes d’intimidation.
• Votre enfant présente-t-il des symptômes d’anxiété et de dépression (il semble triste, malheureux, facilement irritable)?
• Est-ce qu’il a soudainement perdu de l’intérêt pour des activités qu’il aimait?
• Son estime de soi est-elle faible (il ne se trouve pas bon à l’école, il se compare aux autres et les trouve meilleurs que lui)?
• Est-ce qu’il a peur de visiter certains endroits comme l’école, le centre commercial ou le terrain de jeu?
• A-t-il cessé brusquement d’aller sur Internet?
• Ses résultats scolaires ont-ils chuté sans explication?
• Est-ce qu’il vous dit souvent qu’il se sent malade, qu’il n’a pas envie
d’aller à l’école?
• A-t-il des pensées suicidaires, des envies de fuir ou de décrocher?
Ces signes peuvent également se retrouver chez des élèves victimes d’autres formes de violence, par exemple l’homophobie ou la discrimination raciale.
Comme parent, vous pouvez agir.
Si vous apprenez que votre enfant est victime d’intimidation :
• Restez calme, votre enfant a besoin de réconfort.
• Prenez le temps de l’écouter.
• Demandez-lui de vous décrire la situation en détail.
• Ne le blâmez pas.
Comment pouvez-vous intervenir auprès de votre enfant?
• Parlez à son professeur ou au personnel de l’école, à son entraîneur ou à tout intervenant ou personne qui peut être au fait de la situation et qui peut aider votre enfant à la régler. Agissez tout de suite.
• Encouragez-le à dénoncer son ou ses agresseurs. Indiquez-lui qu’il n’y a rien de mal à le faire et qu’il faut du courage pour y arriver.
• Montrez que vous êtes avec lui et que vous allez l’aider à trouver une solution.
• Dites-lui d’éviter tout geste de représailles ou de vengeance qui pourrait se retourner contre lui.
• Encouragez-le, si c’est possible, à rester avec des amis sur lesquels il peut compter. En groupe, il risque moins de se faire intimider et sera plus en mesure de se défendre.
• Conseillez-lui d’éviter les endroits propices à l’intimidation lorsque
c’est possible.
• Demeurez attentif au comportement de votre enfant et, après quelques jours, communiquez à nouveau avec les intervenants que vous avez contactés pour vous aider.
Si la situation nuit au fonctionnement quotidien de votre enfant, demandez l’aide du psychologue, du psychoéducateur ou du travailleur social de l’école ou du CSSS, des Services à la famille ou de tout autre service communautaire.
N’attendez pas que la situation dégénère, que ça devienne pire. Vous pouvez vous adresser à la direction de l’école pour signaler l’intimidation.
Voici la démarche à suivre (voir la vidéo explicative) lorsque vous communiquez avec la direction de l’école : Cette démarche est proposée par le Dr Égide Royer, psychologue, professeur titulaire à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval et codirecteur de l’Observatoire canadien pour la prévention de la violence à l’école.
• Contactez la direction de l’école, pour qu’une intervention efficace soit réalisée auprès de votre enfant et de l’élève qui l’agresse, conformément au plan établi dans l’école pour prévenir et traiter l’intimidation. Elle devrait vous revenir dans les 48 heures pour vous informer des mesures prises pour faire cesser la situation.
• Si vous n’avez pas de nouvelles, communiquez à nouveau, cette fois par écrit (courriel ou lettre), avec la direction de l’école et envoyez une copie à la direction générale de la Commission scolaire.
• Après 48 heures ou à tout moment, vous pouvez contacter le protecteur de l’élève attitré à la Commission scolaire pour lui signaler la situation et demander son intervention auprès de la Commission scolaire et de l’école pour enrayer le problème d’intimidation que votre enfant subit. Demandez un retour dans les 48 heures.
• De plus :
• Un parent ou un élève peut porter plainte à la Commission scolaire (article 220.2 de la Loi sur l’instruction publique).
• Un parent ou un élève peut recevoir de l’assistance de la Commission scolaire pour formuler sa plainte ou pour toute démarche s’y rapportant (article 3 du Règlement sur la procédure d’examen des plaintes établie par une commission scolaire).
Si vous jugez que la sécurité de votre enfant est menacée ou qu’il est victime d’un acte criminel (harcèlement, agression sexuelle, menaces, extorsion, etc.), n’hésitez pas et contactez la police. C’est un recours qui vous appartient, peu importe les interventions de l’école pour contrer l’intimidation.
Prenez des mesures pour protéger votre enfant de la cyberintimidation. Avec l’augmentation de l’usage du téléphone cellulaire et la facilité d’accès à Internet, bien souvent, l’intimidation aura lieu dans l’espace virtuel. Vous pouvez quand même agir et aider à enrayer la situation.
• Encouragez votre enfant à rester en contact avec ses amis en dehors de l’espace virtuel.
• Surveillez du mieux que vous le pouvez ses actions sur Internet.
• Vérifiez s’il a peur d’aller sur Internet ou s’il cesse brusquement d’y aller.
• Conseillez-lui d’éviter les endroits propices à l’intimidation tels que les sites de clavardage (« chat »), les jeux en ligne, etc.
Si vous constatez que votre enfant est victime de cyberintimidation, dites-lui :
• D’ARRÊTER immédiatement ses réponses aux messages d’intimidation. La personne qui l’intimide n’attend que ça.
• D’ÉVITER d’envoyer un message d’insultes ou de menaces, car il pourrait se retourner contre lui et lui apporter plus d’ennuis.
• DE BLOQUER les adresses ou personnes qui l’intimident. Qu’il s’agisse des réseaux sociaux, de son adresse courriel ou de son téléphone, il est possible de bloquer des personnes, des adresses ou des numéros.
• DE PARLER de la situation avec un adulte en qui il a confiance à l’école (ex. : professeur, psychologue, entraîneur, concierge, surveillant).
• DE RETRACER les adresses d’où proviennent les messages d’intimidation.
• DE SAUVEGARDER tous les messages d’intimidation qu’il reçoit, que ce soit par courriel, texto, messagerie instantanée.
PARENT D’UN TÉMOIN
Votre enfant est-il témoin d’intimidation?
S’il se confie pour vous le signaler, il est important de lui dire qu’il a un grand rôle à jouer et qu’il peut agir pour aider les victimes.
Vous avez aussi un rôle à jouer:
Écoutez attentivement votre enfant et conseillez-le sur les comportements
à adopter :
• Expliquez-lui que les intimidateurs ont besoin d’un auditoire. Sans auditoire, ils ont moins de pouvoir.
• Dites-lui qu’il a un rôle important à jouer et que ses réactions peuvent encourager ou décourager l’agresseur.
• Indiquez-lui qu’il peut intervenir directement s’il sent que sa sécurité n’est pas menacée ou qu’il doit aller chercher un adulte qui pourra intervenir dans le cas contraire.
• Rappelez-lui l’importance de dénoncer l’intimidation. Faites-lui comprendre qu’en la signalant, il vient en aide à quelqu’un d’autre et qu’il n’est pas un « stool ».
• Proposez-lui d’avertir un adulte de l’école en qui il a confiance
(ex. : professeur, psychologue, entraîneur, surveillant, concierge).
• Rappelez-lui qu’il peut toujours s’adresser à la direction de l’école
pour signaler l’intimidation.
S’il est témoin de cyberintimidation:
Conseillez-le sur les comportements à adopter quand il est témoin
de cyberintimidation.
• Dites-lui d’ignorer l’agresseur et d’éviter tout contact avec lui.
• Conseillez-lui de réagir, s’il est à l’aise, en protestant face aux propos intimidants.
• Encouragez-le à toujours refuser de transférer ou d’envoyer une image, une vidéo ou un message blessant pour quelqu’un.
• Rappelez-lui l’importance de dénoncer les actes d’intimidation dont il est témoin, même s’ils lui paraissent anodins ou qu’ils ne le touchent
pas directement.
PARENT D’INTIMIDATEUR
Agir pour prévenir:
Un comportement d’intimidation peut se manifester chez des jeunes provenant de tous les milieux, de tous les âges.
Garçons et filles peuvent se livrer à des actes d’intimidation. Il est important de reconnaître les signes si vous voulez agir.
Reconnaître les signes d’un intimidateur
• Ils ont un grand besoin de dominer.
• Ils manquent d’habiletés interpersonnelles.
• Ils croient que l’agressivité est une bonne façon de régler un conflit.
• Ils vont percevoir de l’hostilité là où il n’y en a pas.
• Ils éprouvent peu de remords et ont de la difficulté à faire
preuve de compassion.
• Ils donnent souvent une fausse image d’assurance et de confiance en soi.
Vous pouvez agir pour aider votre enfant à cesser l’intimidation.
Si vous apprenez que votre enfant fait de l’intimidation, vous devez lui démontrer qu’il peut compter sur votre soutien tout en lui faisant comprendre la gravité de ses actes :
• Restez calme et écoutez ce qu’il a à vous dire.
• Faites-lui comprendre que vous prenez la situation très au sérieux.
• Expliquez-lui la gravité et les conséquences de ses actes ou de ses paroles.
• Voyez avec lui comment il peut exprimer sa colère sans faire de tort aux autres.
• Discutez avec lui de tout exemple d’intimidation qu’il voit à la télévision, dans un film, un jeu vidéo ou dans la rue.
• Rappelez-lui qu’il est important de respecter les personnes malgré leurs différences (ex. : orientation sexuelle, race, force physique).
• Essayez de passer plus de temps avec lui et de superviser ses activités.
• Cherchez à savoir qui sont ses amis et comment ils passent leurs temps libres.
• Soyez à l’écoute des personnes qui vous signaleront que votre enfant fait de l’intimidation, qu’il s’agisse du personnel de l’école, d’un entraîneur, d’un parent ou d’un autre jeune.
• Discutez des moyens à prendre pour vous aider et aider votre enfant avec des intervenants qui sont au courant de la situation.
• Expliquez-lui à quoi il s’expose s’il continue à poser des gestes d’intimidation (suspension, expulsion de l’école, plaintes policières, recours à la justice).
• Au besoin, demandez de l’aide au psychologue de l’école ou, selon vos besoins, au travailleur social de l’école ou du CSSS, ou aux services à la famille et aux jeunes.
• Contactez la direction de l’école pour signaler l’intimidation et recevoir le soutien adéquat pour votre enfant.
Si vous apprenez que votre enfant fait de la cyberintimidation :
• Faites-lui comprendre que l’espace virtuel est un espace public et que ce qu’on y trouve est accessible à tous.
• Supervisez ses activités en ligne et encouragez-le à faire
des interactions positives.
• Apprenez-lui à respecter les autres dans l’espace virtuel.
• Rappelez-lui l’importance de garder les mêmes valeurs que dans le monde réel, de ne jamais écrire quelque chose qu’il ne dirait pas à une autre personne face à face.
• Expliquez-lui que colporter des rumeurs, divulguer des renseignements personnels et diffuser des photos ou des vidéos sans avoir obtenu l’autorisation de l’autre personne peut être tout aussi blessant que de la violence physique.
• Dites-lui qu’il est important de respecter la vie privée des autres, qu’il ne faut pas accéder à leurs fichiers informatiques ou à leur baladeur, téléphone cellulaire, etc.
• Expliquez-lui à quoi il s’expose s’il continue à poser des gestes de cyberintimidation (suspension, expulsion de l’école, plaintes policières, recours à la justice).
Source: http://moijagis.com/
Bonjour je suis mère d’une ado de 14 ans qui se fait traiter de noms par une jeune fille qui a eu le pouvoir de monter le restes des amies contres elles je ne sais que faire j’ai vu le directeur et ça continue toujours.. C’a commence à être très pesant dans la maison.
SVP j’ai besoin de conseil
École polyvalente de Chambly
Canada
Bonjour,
Je vous recommande de voir la vidéo de cet article: http://www.accroc.qc.ca/wordpress/video-intimidation-a-lecole-demarche-a-suivre/
La personne explique en détail les démarches à suivre pour aider votre fille. C’est simple clair et surtout ça permet d’assurer que votre fille ait de l’aide du milieu scolaire. Je vous recommande aussi d’aller chercher de l’aide pour votre fille, le CSSS de votre région, à l’accueil psychosocial, peut aider votre fille. Il faut dénoncer ces situations, si c’est criminel, par exemple harcèlement, violence physique… vous pouvez faire une plainte à la police. Si votre fille à des amis il faut qu’elle s’organise avec eux pour se tenir ensemble, on a tendance à s’isoler, mais c’est l’inverse qu’il faut faire. Si vous voulez en discuter davantage je vous invite à nous contacter 450-569-9966 ou 877 460-9966.
Bonne chance
Ma réponse va sûrement vous surprendre mais deux de mes enfants ont vécus l’intimidation « accotée » comme on pourrait dire. Ma fille mangeait sous les escaliers et dans les salles de toilette de l’école tellement elle avait peur. En classe, dans les corridors, dans l’autobus. Les profs, la direction, la psychologue n’ont jamais pu la protéger et arrêter cet enfer. Elle a finie par décrocher. une chose que je peux vous assurer: l’intimidation c’est une question de testostérone.
Une affaire d’homme. Toute les fois que mon mari est allé frappé à la porte d’une intimidatrice et qu’il a parlé avec le père ça été FINI. Les hommes sont moins émotifs et plus rationnels ils ne se laissent pas influencer par les larmes.
Le personnel scolaire ne sont pas assez outillé pour intervenir.
Bonjour,
Mon fils se fait accuser continuellement qu’il fait de l’intimidation par un autre élève qui est le fils d’une ancienne amie…
Ma problématique c’est que mon fils et ses amis ont changé d’arrêt d’autobus pour ne pas avoir de problème face à ces fausses accusations et maintenant le fils a fait une plainte au chauffeur comme quoi il y a des élèves qui ne prennent pas l’autobus au bon endroit…
Mon grand fait tout pour ne pas avoir de contact avec lui et il se fait encore accusé et cette semaine il a appris que si l’autre ne serait pas avec un dossier DPJ il le batterait…
Question… qui intimide qui parce que moi perso je suis réellement perdue!!!
D’une maman découragée
Effectivement, souvent ces situations sont complexes. On conseil, d’en parler à plusieurs personnes en lien avec votre fils, école, chauffeur autobus, autres parents… Plus la situation va être connu, plus le pouvoir des intimidateurs va diminuer. Dans un tel cas, de mettre à jour la situation peut aider grandement.
Bonjour, quel recours ai-je contre une école privée qui ne fait rien contre l’intimidation que subit mon fils depuis 3 ans. Je suis tannée de devoir continuellement les aviser et que rien ne change . Pire encore, depuis 3 ans qu’il le mettre dans la même classe que son intimidateur et ce malgré qui 2 autres classes…. J’ai décider de retirer mon fils car la situation est devenu pire, il ne veut plus aller à l’école , ne dort plus ,à peur , pleure tjs et j’en passe. Il reste seulement 4 mois d’école mais je refuse qu’il subisse ça encore… Besoin de vos conseils svp. Merci beaucoup
Voici un lien: http://www.accroc.qc.ca/wordpress/video-intimidation-a-lecole-demarche-a-suivre/
Bonjour,
Que faire lorsque votre enfant se fait intimider dans l’autobus? L’école ou la commission scolaire peuvent-ils y faire quelque chose ou c’est seulement le chauffeur?
Merci et bonne journée!
Il faut le dénoncer à le plus d’interlocuteur possible, donc, le chauffeur, la compagnie de transport, l’école et la commission scolaire si rien ne se fait. Le but d’informer autant le transporteur que l’école est de s’assurer un arrimage adéquat et éviter que l’intimidateur et la personne intimidé le soi aux 2 endroits.
Bonjour,
Ma fille est en maternelle dernièrement, elle me dit personne ne veut jouer avec moi, et vendredi dernier 2filles et un garcon l’ont dit de baisser son pantalon et elle l’a fait pourriez-vous svp me dire quoi faire???? Je voudrais écrir aà la directrice pour que ca s’arrête et me déplacer pour faire le point avec le service de garde???? Je suis toute perdu. Aidez-moi svp!
Voir ce lien qui explique les démarches à suivre: http://www.accroc.qc.ca/wordpress/video-intimidation-a-lecole-demarche-a-suivre/
Que faire lorsque l’école ne croit pas à l’intimidation que mon enfant subit et ne veulent rien faire et en rit même lorsque nous leur en parlons? Plainte à la commission scolaire? Et quel seront les mesures à prendre?
Ce lien apporte la réponse à vos questions http://www.accroc.qc.ca/wordpress/video-intimidation-a-lecole-demarche-a-suivre/
Bonjour,
J’ai appris de la direction de l’école que mon fils fait de l’intimidation (il est irrespectueux et traite les gens de nom). L’école menace de l’expulser.
Par contre, dans la plupart des sources que j’ai consultées, on me suggère de me tourner vers l’école pour obtenir du soutien… D’autres suggestions?
Merci,
Cynthia
Il existe plusieurs structures soit à l’intérieur de l’école ou à la commission scolaire: le comité de parents et le conseil d’établissement au niveau de l’école. Pour la commission scolaire je vous réfère au site du ministère (http://www.education.gouv.qc.ca/le-ministere/plaintes/plaintes-visant-un-organisme-du-reseau/) qui dit:
Plaintes visant les services offerts par une école, un centre ou une commission scolaire
Si vous n’êtes pas satisfaite ou satisfait des services rendus ou qui auraient dû être rendus par votre commission scolaire, vous devez vous adresser à celle-ci. Toutes les commissions scolaires disposent d’une procédure d’examen des plaintes qui en prévoit les modalités.
Le protecteur de l’élève
La procédure d’examen des plaintes de la commission scolaire doit permettre à la personne qui est insatisfaite de l’examen de sa plainte ou du résultat de cet examen de s’adresser à une personne désignée sous le titre de protecteur de l’élève.
Le protecteur de l’élève doit, dans les 30 jours de la réception de la demande du plaignant, donner au conseil des commissaires son avis sur le bien-fondé de la plainte et, le cas échéant, lui proposer les correctifs qu’il juge appropriés.
Bonjour,
Je suis le grand père de 2 adolescents, un garçon de 13 ans et d’une fillette de 9 ans, ils subissent de l’intimidation et de la violence verbale souvent et physique occasionnellent de la part de leur père. Je ne sais plus quoi faire pour prévenir un drame éventuel.
Voici le contexte qu’il vivent, le père a obtenu la garde partagée depuis la fin des classes soit en juin 2017, l’été dernier ça été relativement bien, mais depuis le début des classes la situation s’est envenimée. Le garçon de 13 ans à refusé d’aller chez son père une semaine où il avait la garde, la semaine suivante lorsqu’il y est retourné son père dès la première journée a pété les plombs comme il dit si bien, il a défoncé la porte ( elle n’est plus utilisable)de sa chambre sous prétexte qu’il ne voulait pas faire ses devoirs tout de suite, le mercredi suivant il lui a serré le bras tellement fort qu’il lui a fait un bleu sous prétexte que sa mère lui laissais des médicaments dans son sac scolaire et qu’elle voulait le drogué et qu’elle aussi se droguaitce qui est totalement faux. (Les médicaments en question sont 2 comprimés de vyvance Car il est TDAH et qu’il lui est arrivé d’oublier de prendre sa médication lorsqu’ils sont en retard le matin et 2 comprimés d’advil)
Nous avons réagis à ces derniers événements, la mère a discuté avec l’adoslescent la situation ne peut continuer, il lui mentionne sa peur qu’il a de son père, bref ayant une bonne relation de confiance avec le jeune je lui ai suggéré d’aller faire un signalement à la police ce que nous avons fait à auprès la police provinciale de Napierreville, qui ont transmit le tout à la D.P.J. N’ayant pas de suivi le jeudi suivant nous avons téléphoné à ceux-ci pour savoir où en était rendu le dossier, leurs réponses a été qu’il ni avait pas matière à porter plainte et qu’il n’y avait pas urgence d’agir.
Le jeune lors de son retour à l’ecole le mardi suivant, il a été voir la TS de l’école de son plein gré et lui a raconté l’histoire de la semaine précédente aucune action a été prise à ce jour.
Vous comprendrez que notre confiance est ébranlée en la justice, la D.P.J., et les
.intervenants scolaires, par toutes organismes qui dit venir en aide à nos jeunes victimes de violence et d’intimidation, faudrait peut-être arrêter de nous envoyer des pubs mentionnant : la violence tolérance zéro, dénoncer l’intimidation pour que ça arrête. (boul shit)…..
Grand parent inquiet de la sécurité de ses petits enfants, parce qu’ils vivent de la manipulation de l’intimidation, de la violence physique et verbale depuis leur naissance et semble-t-il personne ne veut ou n’a les pouvoirs d’agir.
Bonjour, je comprends votre inquiétude. Il faut garder confiance envers les institutions, elles sont là pour vous aider mais eles doivent fonctionner avec les lois et en violence conjugale et familiale se sont toujours des cas assez complexe. Notre conseil est de continuer à dénoncer ces situations. Plus il y a de plaintes de différentes personnes et plus la DPJ va avoir des arguments pour pouvoir bouger. On vous recommande d’aller avec le jeune rencontrer un intervenant psychosocial de votre CLSC. De rencontrer l’école pour voir s’ils peuvent vous aider dans ce cas. Faire des signalements à la DPJ dès que vous savez que vos petits enfants sont victimes de violence et ce peu importe la forme. De faire intervenir la police si on parle de violence physique ou de harcèlement. De monter un dossier avec les dates, nature événements, photos… Les plus important est de ne jamais abandonner pour le bien de vos petits enfants. Si vous avez besoin de nous parler, vous pouvez toujours nous contacter au 450 569-9966.
Bonjout! Ma fille est en maternelle. Et souvent elle me dit un tel garçon l’a punche dans l’autobus scolaire, l’autre jour un garcon l’a insulté et le garcon d’une voisine lui a crié après et l’ainsulte devant moi a la descente de l’autobus scolaire et il lui a craché dessus avec 2 autre garçons. C’est toujours les mêmes. Ca arrive dans la cours aussi. Ma fille est tellement inoffensive qu’elle joue encore avec les mêmes garçons qui lui font du mal.
A qui dois je m’adresser? Au chauffeur? A l’ecole? A son enseignante?
Je veux même qu’elle arrête de prendre l’autobus mais je me dis que ca va continuer a l’ecole aussi.
Merci!
Voici ce qui est conseillé:
bonsoir, ma a 12 ans et se fait intimider sans arrête, a l’ecole, dans l’autobus, dans notre village et voilà qu’elle reçoit des messages sur fb. 🙁
Sa dure depuis des années, chaque annés c.arrivé a un moment de l’annee mais souvent sa passait ou en faites elle cessait de m’en parler mais là cet annee sa empirer, depuis 2 ans ces notes somt en chute libre, echec par dessus echec… la ville qui vit en face de chez nous est la tête de la clic, elle embarque des nouveaux élèves régulièrement dans sa clic pour écoeurer ma fille. Elles la traite de noms sans arret, la traite de bitch de grosse conne, de pas belle et jen passe. Si ma fille menace den parler qu’elle est tanner les intimidatrices lui disent qu’elles vont dire que cest elle.qui a commencer et que sa va passer puisqu’elles sont plusieurs et elle …seul!
Il y a environs 1 mois une autre maman a vue ma fille ce faire intimider dans sa propre cour pendant jetais au travail, la sem dapres ma fille ma appeler en.pleurant les filles avaient recommencer alors jai parler a la maman de la tete de la.clic mais rien a durer…
ce matin ma fille a reçus un message sur FB lui disant de fermer sa geule et de foutre patience a lautre…car lintimidatrice en tête a decider de jouer la victime et faire passer le tout sur le dos de ma fille….
Je suis épuiser je sais pus par où me tourner pour avoir de laide rapidement…ma fille est en échec a lecole, na aucune estime delle même, ne croit pas en elle ni au bonheur, elle veut tellement avoir.des amies.quelle accepte detre leurs amies quand ces filles on besoin dun bouche trou…
je suis.épuiser je veux la.protéger ….
Jai été intimider moi plus jeune et j’ai pas.envie qu’elle vive ce que j’ai ressentit moi…
J’ai une cousine qui s’est suicider a 13 ans il y a 10 ans de ça…elle setait fait.intimider..
J’AI PEUR!!!
d’une maman qui est totalement perdu!!